Une fois que Swami Vishwananda fut sorti de notre maison, je n’avais qu’une seule envie: le revoir bientôt. Et ce fut le début d’une suite d’interviews et de réunions où nous chantions des bajans. Il voulut faire un yagna chez nous, on le fit dans la cheminée. Pendant un Yagna tous les participants jettent dans le feu un mélange de graines, d’épices et de riz en disant: « Swahaaaaaa ». Cela signifie : « offrir », à l’époque, je n’en avais aucune idée.
Pendant le Yagna, je me vois tout à coup en Inde, assis par terre à répéter « Swahaha » et jeter du riz dans le feu sacré. A la fin de la cérémonie, je vais voir Swami et je lui demande :
- Dis-moi, on se connaissait déjà dans une vie précédente en Inde où l’on faisait aussi des « Gnagnas » ?
- Bien sur, pleins de fois ! me dit-il le plus naturellement du monde avec un beau sourire.
- Ah, bon !
Quelqu’un l’appelle il va répondre à une autre question. Moi, je reste là planté, la bouche ouverte, l’air hébété.
Pour profiter de la connaissance universelle de Swami Vishwananda, je me fis une liste des questions les plus importantes dans ma vie. Je pensai les lui poser le lendemain matin. Mais à mon grand étonnement, j’étais toujours empêcher de lui poser mes questions. Lorsqu’enfin il se trouva seul pour quelques minutes, je sortais mon papier, et le mitraillai de questions. Arriver en bas de page, il avait répondu à toutes les questions, le plus gentiment du monde et moi, je m’étais aperçu que toutes ces questions n’avait aucune importance. Il s’agissait de vivre intensément l’instant présent plutôt que de faire des plans pour l’avenir.
A un problème personnel que je n’osai aborder, il fait une petite plaisanterie. Cela me mets tout de suite à l’aise. Je sens qu’il sait tout et je peux lui expliquer ce qui me tracasse. Je sens qu’il ne me juge pas. Il essaie simplement de m’aider.
Pendant le Yagna, je me vois tout à coup en Inde, assis par terre à répéter « Swahaha » et jeter du riz dans le feu sacré. A la fin de la cérémonie, je vais voir Swami et je lui demande :
- Dis-moi, on se connaissait déjà dans une vie précédente en Inde où l’on faisait aussi des « Gnagnas » ?
- Bien sur, pleins de fois ! me dit-il le plus naturellement du monde avec un beau sourire.
- Ah, bon !
Quelqu’un l’appelle il va répondre à une autre question. Moi, je reste là planté, la bouche ouverte, l’air hébété.
Pour profiter de la connaissance universelle de Swami Vishwananda, je me fis une liste des questions les plus importantes dans ma vie. Je pensai les lui poser le lendemain matin. Mais à mon grand étonnement, j’étais toujours empêcher de lui poser mes questions. Lorsqu’enfin il se trouva seul pour quelques minutes, je sortais mon papier, et le mitraillai de questions. Arriver en bas de page, il avait répondu à toutes les questions, le plus gentiment du monde et moi, je m’étais aperçu que toutes ces questions n’avait aucune importance. Il s’agissait de vivre intensément l’instant présent plutôt que de faire des plans pour l’avenir.
A un problème personnel que je n’osai aborder, il fait une petite plaisanterie. Cela me mets tout de suite à l’aise. Je sens qu’il sait tout et je peux lui expliquer ce qui me tracasse. Je sens qu’il ne me juge pas. Il essaie simplement de m’aider.
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