dimanche 30 août 2009

Le rétablissement de grand-mère


En 1998 je retournais à l’île Maurice. Ma grand-mère était sérieusement malade et les docteurs avaient abandonnés tout espoir de la garder en vie. Ils avaient informés la famille que ses jours étaient comptés. Dès notre arrivée nous sommes donc allés voir grand-mère puis nous avons rendu visite à la famille de Swami Vishwananda. Alors que nous discutions à propos de l’état de santé de grand-mère, il me dit : « Je ne sens pas qu’il est l’heure pour grand-mère de quitter son corps. Elle va récupérer bientôt même si les docteurs ne lui donnent que deux jours à vivre ». Deux jours plus tard son état de santé s’était non seulement amélioré mais elle était venu à pied rendre visite à mon oncle (le père de Swami).

(par Ravi, le cousin de Swami Vishwananda)

samedi 29 août 2009

L’union aux cœurs de Marie et Jésus


Nous peignons une statue de Marie sur la terrasse de l’ashram de l’île Maurice en Août 2000. Je rumine une question dans ma tête mais je n’ose pas la formuler. Swami Vishwananda me dit :
- Qu’est-ce-que tu veux me demander ?
- Yogananda conseillait la méditation pour arriver à la réalisation de soi. Maintenant tu conseilles de prier comme dans l’église chrétienne. Pourquoi ?
- L’église orthodoxe et l’église catholique recommande de méditer sur Jésus Christ. Comme le faisait les saints. Ils méditaient sur la forme du Christ.
- Pendant la méditation dans la chapelle, je méditais sur mon cœur et pour la première fois, je sentais l’amour de Jésus et de Marie. Pour y parvenir, je devais traverser des couches, enlever des voiles qui recouvraient cet amour au fond de mon cœur.
- Oui, cet amour deviendra de plus en plus fort. Plus tu pries et tu te concentres sur Jésus et Marie à tout instant de la journée et plus la perception de cet amour deviendra forte.
- Toi, tu le sens en permanence, à chaque instant cet amour?
- Oui, sans arrêt.
- Tu as un tellement bon contact avec chacun, sans doute parce que tu les aimes de cet amour divin et qu’ils sentent cela.
- L’amour de Dieu est éternel, plus on le donne et plus on en a.
- Comment arriver à sentir en permanence cet amour de Dieu, par la prière ?
- Oui, la prière permet de calmer le mental. La méditation permet de se concentrer sur l’amour de Dieu, sur l’amour de Jésus et de Marie, pour n’être plus qu’un avec eux. Il faut appeler Jésus et Marie à chaque instant en leur demandant : unissez notre cœur à vos cœurs. Penses à eux tout le temps, la grâce de Dieu viendra alors d’elle-même.


vendredi 28 août 2009

L'anniversaire de la vierge Marie



Pour l'inauguration de L'ashram à l'île Maurice, nous étions une trentaine de personnes. Le 5 Août 2000 Swami Vishwananda nous confia que Marie lui avait dit lors d’une apparition  la véritable date de son anniversaire: le 5 Août.

Après le rosaire du soir, nous avons chanté : « Happy Birthday Marie » et nous avons embrassés l’un après l’autre la statue de Medujgorje.
Le lendemain, nous sommes allés voir le père Pascal au village de « Rivières d’anguilles ». Il nous raconte l’histoire de la résurrection par Marie d’un bébé mort depuis un an en Inde ! Lorsque les gens ont ressortis du tombeau le cercueil du bébé, comme l’avait demandé Marie, le bébé était bel et bien vivant. Il fut baptisé Moise. Plusieurs prêtres étaient présents, le tout fut filmé. Le père Laurentin est en possession de cette vidéo nous dit-il. 

Hier, Adicha le petit garçon allemand de 5 ans a vu Marie sur la pelouse du centre. Il nous explique :
- Elle a dit qu’il fallait prier dans la chapelle.
Puis il demande à sa maman :  
- Pourquoi les gens prient-ils Marie, « blende Grass » (en allemand : Marie, herbe aveuglante)? La maman fait des yeux ronds puis éclate de rire.
- Ils ne prient pas « Marie, blende Grass » mais «Marie, pleine de grâce » en allemand : « volle Gnade »!

Ce soir nous avons regardé un film sur Marthe Robin. Swami me dit :
Elle aussi a beaucoup souffert. L’amour pour Dieu augmente avec la souffrance gratuite. Le fait de s’offrir à Dieu te mène plus haut dans cet amour divin. Cet amour est là en permanence. Nous sommes tous sous le voile de Marie qui nous protège et nous aime.


jeudi 27 août 2009

Une convalescence instantanée


Swami Vishwananda était en l'an 2000 pour quelques semaines à l’île Maurice. A cette époque, J’avais un problème de santé, un « Stye » à l’œil, le docteur avait conseiller de faire une petite opération chirurgicale. J’ai donc été opérée. Quand je suis revenue à la maison, après l’opération, Swami Vishwananda m’a demandé d’enlever le pansement qui recouvrait mon oeil. A ma grande surprise, la plaie était déjà cicatrisée. En un instant l’œil avait été guéri. J’avais reçu une semaine de congés pour ma convalescence. J’étais contente, j’ai pu ainsi la passer avec Swami Vishwananda.
(par Yogeshini de l'île Maurice)


mercredi 26 août 2009

Assisi


Swami Vishwananda cherchait une image de Marie avec une représentaion particulière de la Mère de Dieu. Un jour qu’il était à Assise, chez des amis, Swami Vishwananda vit cette représentation accrochée au mur. Il demanda à cet ami s’il pouvait l’avoir. Juste à ce moment là, l’icône se mit à se balancer à droite et à gauche et finit par tomber par terre. "-Bien sûr que tu peux l’avoir", répondit l’interlocuteur, très impressionné. L’icône de trouve à l’ashram de l’île Maurice.


lundi 24 août 2009

Premier séjour en pologne


Nous sommes accueillis merveilleusement. Puis avec la grande famille de Jaga et Wlodek, nous allons visiter la ville de Warshau. Swami Vishwananda a envie d’une pizza. Nous sommes dans un centre commercial. Jaga est avec nous, elle est de Warshau mais personne ne sait ou trouver une pizza dans cet immense centre commercial. Swami Vishwananda décrète d’un air assuré : la pizzeria est tout en haut. Nous prenons les escaliers roulants et effectivement atteignons la pizzeria italienne pour manger un morceau de pizzas et une salade. 
Nous avons diné et passé la soirée chez Jaga et Wlodek avec leur famille, une vingtaine de personnes sont là. « Tous seront des devotees » me dit Swami Vishwananda.
Nous chantons des bajhans pour nous entrainer pour la soirée de darshan du lendemain. Les gens sont fascinés par Swami Vishwananda, il matérialise une petite statue de Ganesha à un garçon et des bagues pour plusieurs personnes. 
Le lendemain après midi nous allons à l’église prier devant la tombe d’un martyre polonais le père Bobola, père de la pologne, tué en 1657. Son corps est momifié. 


samedi 22 août 2009

Dieu fait tout pour le mieux


Swami Vishwananda aime raconter des histoires pour illustrer son propos. Voici l'une d'elle concernant la façon d'aborder la vie quotidienne.

"Il était une fois dans les années 1000 un roi en Inde qui était très bon avec ses sujets. Il n’avait qu’un défaut il se mettait en colère facilement. Il avait un premier ministre qu’il aimait beaucoup, comme un ami. Ce ministre était très pieux et priait très souvent. Le roi aimait chasser à cheval les tigres et autres animaux sauvages qui dérangeaient les villages de son royaume. Un jour il galopait dans la forêt avec son ministre lorsqu’un cobra se trouva sur son passage. Son cheval prit peur, il se cabra et le roi tomba à terre près du serpent venimeux. Le cobra lui mordit le doigt. Aussitôt le poison se répandit dans le doigt du roi. Le roi savait que si le poison arrivait à son cœur il mourrait instantanément. Aussi prit-il son poignard et se coupa le doigt. Le ministre l’aida à faire un pansement. Le roi criait de douleur.

Le ministre lui disait : « Le Bon Dieu fait les choses toujours pour le mieux. C’est une bonne chose que votre doigt soit coupé Majesté. » « Fermes là » lui répondit le roi. « Mais si, Majesté c’est une bonne chose que vous ayez un doigt en moins. » « Ta gueule ! » hurla le roi cette fois en colère et comme le ministre continuait de la sorte, lorsqu’ils furent retournés au palais, le roi appela ses gardes et fit mettre le ministre en prison. Trois jours plus tard le roi se promenait à cheval dans la forêt lorsqu’il fut attaqué par une troupe de bandits. Ces bandits amenèrent le roi à leur chef. Ce jour là était le jour où il avait l’habitude d’offrir une vie humaine à leur déesse. Le chef des criminels dit au roi : Tu seras offert ce soir à notre déesse en l’honneur de sa fête. Le roi était bien embêté et désespérait de pouvoir sauver sa vie. Après avoir lavé le roi et l’avoir bien habillé, les voleurs remarquèrent que le roi avait un doigt qui manquait. Ils allèrent trouver le roi et lui dirent : « Nous ne pouvons pas offrir cet homme à la déesse même si c’est un roi, car il est incomplet. » Le chef regarda le doigt manquant du roi et fit signe aux voleurs de libérer le roi car on ne pouvait offrir un animal ou un être humain qui n’était pas complet à la déesse. Alors le roi prit ses jambes à son cou et rentra à toute allure dans son palais. Là il courut à la prison et libéra son ministre en lui raconta ce qui venait de lui arriver. Il remerciait Dieu qu’il ait du couper son doigt sinon il aurait perdu la vie ce jour même. « Dis moi ministre, il y a quand même quelque chose que je ne comprends pas, pourquoi Dieu a-t-il voulu que je te mette en prison, alors que tu avais raison de parler de la sorte ? » demanda le roi. « Eh bien voyez vous Majesté, si j’avais été avec vous aujourd’hui, c’est moi que les voleurs auraient pris. Car si vous êtes incomplet, moi par contre il ne me manque rien du tout, » répondit le ministre."

Dans la vie, parfois on ne comprend pas ce qui nous arrive pourtant Dieu fait tout pour le mieux pour nous faire progresser le plus vite possible. Lorsque l’on souffre à cause de quelque chose en même temps grâce à cela on apprend aussi quelque chose. Le mieux pour être heureux c’est d’accepter tout ce qui vient chaque jour, comme venant de Dieu.

vendredi 21 août 2009

Sa façon d’enseigner

 
Comme gourou ou maître spirituel, il rayonne une autorité naturelle même si son comportement est spontané. Il peut être strict mais toujours il la tempère par son tempérament doux et charitable. Il sait ce qui est bon pour ses disciples. Si l’un d’eux fait quelque chose qu’il désapprouve, il le fait remarquer à la personne en question.
Plutôt que de condamner cette personne, il essaie de planter une graine d’aptitude à apprendre de ses fautes tout en continuant son chemin. Il soutient cette attitude et encourage la personne. Swami Vishwananda dit : « Lorsque vous êtes tombés, il vaut mieux vous relever et par l’expérience de cette faute douloureuse en sortir plus fort plutôt que de ressasser votre faute jusqu’à ce qu’elle provoque une maladie physique ».
Swami Vishwananda est très tolérant envers les autres. Il n’essaie jamais de convaincre les autres de son opinion personnelle et il ne fait jamais la morale. Lorsque quelqu’un lui demande son avis à propos d’un problème, il dit clairement ce que la personne doit faire pour rétablir la situation mais il laisse le libre choix à la personne de décider. Lorsque Swami se trouve dans une situation difficile, il réagit rapidement pour en sortir. 
Une fois nous étions Swami Vishwananda et moi à Rodrigues, une petite île non loin de l’île Maurice. Nous habitions dans une pension de famille. Le fils de la famille était âgé de vingt ans, comme Swami Vishwananda à cette époque. Le fils commença à se moquer de Swami et de ses qualités spirituelles à faire des miracles. Swami patiemment essaya plusieurs fois de parler avec le garçon et de le raisonner mais sans succès. Alors Swami se retira de cette situation inconfortable. J’avais été surpris à l’époque de voir qu’au lieu d’être blessé ou en colère Swami Vishwananda éprouvait de la pitié pour ce garcon. Les gens ont avec Swami des relations très différentes sans qu’il s’en offense. Pour certain il est le gourou, le maître spiritual, le frère, l’ami ou tout simplement une personne normale. Bien que Swami Vishwananda est mon gourou, il sera toujours mon meilleur ami en même temps.
Jyotirananda - Suisse

Swami Vishwananda, quelqu'un qui aime Dieu

Lorsqu’un malade demande à Swami de le guérir, il répond qu’il priera pour lui et pour sa guérison et il le fait. Lorsqu’une guérison spontanée se produit, il souligne toujours que c’est l’œuvre de Dieu. Je ne l’ai jamais entendu dire de lui-même qu’il avait guérin qui que ce soit. D’ailleurs il dit que personne ne peut prétendre être un guérisseur. Les guérisseurs sont seulement des instruments dans les mains de Dieu.
Swami est quelqu’un de très déterminé et conséquent dans les actions qu’il entreprend. Il aime la compagnie et aime beaucoup rire. Dans son temps libre il va en pèlerinage aux lieux saints et peint des icones. Il est très créatif dans la peinture ou dans la musique. Il aime tous sortes de musiques et de chants dédiés au divin. Il a une belle voix et aime chanter avec d’autres. Une de ses passions est aussi d’étudier la vie des saints. 
Swami Vishwananda est quelqu’un qui aime Dieu de tout son cœur et de toute son âme, de façon très pure et presque enfantine. Cette forme d’amour pour Dieu crée une relation très naturelle et personnelle avec le divin. Ceci produit un écho dans le cœur des gens et cet amour pour Dieu résonne dans leur vie quotidienne. Swami Vishwananda touche le cœur et motive les personnes à adopter une vie centrée sur Dieu. 

par Jyotirananda


mercredi 19 août 2009

Swami Vishwananda, un guide spirituel

J’ai été témoin tellement souvent, de ce que l’on appelle les miracles de Swami Vishwananda. Ce ne sont pas les phénomènes et les miracles se produisant autour de Swami qui m’impressionnent le plus. Par contre sa capacité à aider et à assister les gens dans leur recherche personnelle. Il les inspire à devenir conscient que Dieu est la seule réalité et à mener une vie guidée par l’Esprit.
J’admire la façon dont Swami Vishwananda tout en faisant son travail de guide spirituel arrive à rester fermement les pieds sur terre en toute humilité. 
Swami a accès à une grande connaissance et reste connecté en permanence au monde spirituel mais il ne parle que très rarement de ce sujet. J’ai plusieurs fois essayé de le pousser là-dessus en lui posant des questions. Patiemment Swami Vishwananda répond alors qu’ il ne souhaite pas nous voir nous concentrer sur des phénomènes mais sur la source de tous les phénomènes de la vie et de l’amour : Dieu lui-même. Il conseille aux gens de développer au quotidien l’amour de Dieu dans leur cœur plutôt que d’apprendre toujours plus de connaissance théorique. Il dit : « Si vous remplissez votre cœur d’amour pour Dieu et vous vous laissez embraser par cet amour, vous obtiendrez la vrai connaissance qui n’est basée ni sur les livres ni sur les théories ». 

by Vishwaparthananda

mardi 18 août 2009

Du savon dans les lentilles

Swami Vishwananda était un enfant joueur et lorsqu’il jouait avec les enfants du voisinage, il faisait des farces mais ce n’était pas méchant. Il aimait taquiner les gens. Un jour par exemple, je cuisinai des lentilles à la cuisine. Alors que j’avais le dos tourné il mis un morceau de savon dans la casserole. 
Il grimpait partout et comme mère, je me faisais du souci car il aurait pu tomber et se faire mal. Lorsque Swami Vishwananda faisait ces bêtises je le frappai. Maintenant je réalise que j’étais trop sévère avec lui et que je l’ai trop frappé par exemple, lorsqu’il avait mis du savon dans les lentilles. Quand je repense à ma conduite et les corrections que je lui donnais, cela me rend triste. 

Mon fils est particulièrement béni

Swami Vishwananda avait comme nom Visham lorsqu’ il était enfant. Il est né à l’île Maurice le 13 Juin 1978. Comme moi, il a grandi sur cette petite île. Aujourd’hui il est connu et respecté dans le monde entier. A l’île Maurice, comme en Inde tout le monde se connaît aux alentours, chacun se parle et les voisins forment comme une grande famille. 
Dans sa jeunesse, Swami Vishwananda jouait avec tous les enfants du voisinage. Les garçons le taquinaient à cause des ses penchants et de ses pratiques spirituelles. Ils se moquaient de lui en l’appellant: Hari Om et Jai Gurudev, cela ne le dérangeait pas. Il était souvent en compagnie d’adultes. Non loin de notre maison un vieil homme appellé Lala habitait seul au milieu d’une petite forêt. Swami Vishwananda visitait souvent Lala. Dans la tradition de bon voisinage, il y avait toujours quelqu’un pour faire la cuisine de Lala. Celui-ci ne parlait pas beaucoup, la pluspart du temps il était assis devant sa hutte en silence.
(par Bindow la mère de Swami Vishwananda)

dimanche 16 août 2009

Retour de l'île Maurice

En avril 2000, je revenais de mes premières vacances à l’île Maurice avec Swami Vishwananda. De retour en Suisse beaucoup de travail m’attendais au bureau. Je retrouvais les problèmes des clients et le stress du quotidien. Je téléphonais à Swami Vishwananda : 

- En quoi cela peut-il me faire progresser spirituellement de me crever au travail ? Est-ce la volonté de Dieu que je me casse la tête chaque jour avec les problèmes des clients ? Tu disais l’autre jour qu’être parfait c’est faire la volonté de Dieu. Comment peut-on reconnaître la volonté de Dieu ?

Swami Vishwananda me répondit:

- Ne te tracasse pas, il te la fera savoir en temps voulu. Attends donc, soit patient. Être parfait, c’est accepter tout ce qui vient à nous chaque jour comme venant de Dieu, comme sa volonté ; c’est aimer tout ce qui vient à nous et tout ce qui existe autour de nous. C’est faire chaque chose avec amour. Tu vois c’est tout simple. 
- Oui, c’est tout simple, c’est le mental qui complique tout.

samedi 15 août 2009


En Mars-Avril 2000, un pélerinage avec Swami Vishwananda et une cinquantaine de personnes fut organisé pour visiter les lieux de vénération de Marie en Italie. Lors du Voyage Marie apparut plusieurs fois à Swami. Elle donna une prière à Swami pour ses enfants qui veulent prier Jésus :
« Oh Seigneur, Seigneur laisse mon cœur se rapprocher de ton cœur en l’unissant au cœur immaculé de ta Mère et à ton cœur sacré ». Ainsi qu’une Prière pour Marie et Jésus :
 « Faites de moi un instrument de votre Paix et de votre Amour. Que je donne votre Amour aux âmes malades, pour la paix dans le monde, la paix de l’esprit et la paix des âmes perdues. Amen ».

vendredi 14 août 2009

Le miracle de Navaratri en Octobre 2006


A l'île Maurice, chaque année nous fêtons Navaratri, la fête de la mère divine à l’ashram de Swami Vishwananda. A la fin des neufs jours de fête de Navaratri, nous offrons un repas à tous les gens venus assister à la cérémonie de clôture. L’année précédente environ deux cents cinquante personnes étaient venues à la cérémonie finale. Aussi en 2006, nous avions préparé de la nourriture pour environ trois cent personnes mais six cent personnes sont arrivées ! Nous étions bien embarassés ! Swami Vishwananda était en Allemagne. Comment allions nous nourrir tous ces gens ? Après avoir distribué la nourriture aux trois cent personnes, il ne restait plus rien dans les casserolles. Alors j’ai dit à Roshan :
- Nous allons prier. Il n’y a pas d’autres solutions. Swami Vishwananda va nous aider.
Nous avons arrêté de distribuer le repas et nous sommes allés prier dans le temple. Puis après dix minutes environ nous sommes retournés sous la tente où nous faisions la distribution du repas.
- Allons voir maintenant les casserrolles. 
Lorsque j’ai ouvert le couvercle des casserrolles elles étaient de nouveau pleines de riz, de lentilles et de sauce comme si nous n’avions rien distribué auparavant.
Ainsi nous avons pu donner un repas à tous les gens et il en est même resté. 
(par Yogeshini)

jeudi 13 août 2009

Visite en bord de mer



Nous étions allés avec Swami Vishwananda à un endroit de la côte mauricienne où la mer est toujours très agitée. Depuis une falaise on peut voir la mer qui s’étend à perte de vue. Une personne de notre petit groupe se mit à se moquer de Swami. Swamiji lui demanda d’arrêter sinon il se fera mouillé par les énormes vagues qui venaient se briser à nos pieds. Mais la personne ne tenant pas compte de l’avertissement de Swami continua ses propos moqueurs.
Soudain Swami Vishwananda leva ses mains et les vagues commencèrent à grossir et à s’élever tellement haut que en retombant l’homme fut complètement trempé. Tous nous allèrent vers Swami pour lui demander de recommencer. Nous voulions voir à nouveau cette grande vague !
Pour nous faire plaisir Swami Vishwananda recommença plusieurs fois, levant les mains et à notre plus grande joie. Les vagues nous tombaient dessus comme une énorme douche. A la fin nous étions tous trempés mais heureux d’avoir pu voir cela.

mardi 11 août 2009

Merci !


Il ya quelques années, j’ai dû subir une intervention chirurgicale avec pose de plaques pour double hernie inguinale. Plus récemment une visite chez le médecin me diagnostique une éventration: "Il va falloir opérer", me dit-il. Après en avoir parlé à Swami Vishwananda, celui-ci me dit d’attendre trois mois avant cette opération. Trois mois plus tard, je fais une échographie et celle-ci indique que non seulement il n’y a plus d’éventration mais également même plus de traces internes de l’intervention subie çinq ans auparavant. Plus de traces des plaques non plus !

Merci Swami Vishwananda. Merci aussi de m’aider à développer toujours plus de tolérance, d’humilité et de m’apprendre à apprécier ce silence où demeure la présence de Dieu.

(par Paritoscha)

lundi 10 août 2009

Une attitude positive

J'ai vu Swami Vishwananda transcender la souffrance à Fatima. Nous étions en pèlerinage avec lui et il a eu les stigmates. Il avait mal à la tête, il m’a demandé de la lui masser puis dix minutes plus tard il a refrappé à la porte de notre chambre d’hotel, le sang coulait des stigmates. Il avait la tête en sang, le visage et les yeux remplis de sang, il s’est allongé et il est resté en extase pendant deux heures. Nous étions quatre à pleurer autour de son lit. En le racontant encore maintenant, les émotions sont aussi présentes en moi. Le voir souffrir et pourtant avec un sourire, cela fait penser à l’état d’extase mystique des Saints. On se sent coupable de le voir souffrir car il absorbe et transcende toutes notre négativité, c’est ce que je crois. Le rencontrer me permet d’être plus positif. Il m’a demandé d’avoir cette attitude plus positive, de gérer mes paroles et mes pensées pour que la négativité cultivée depuis trop longtemps ne vienne obscurcir ma vie et celle de mes proches. J’ai été très touché par la foi et l’amour qu’il m’insuffle lorsque j’ai vu la maman gravement malade de ma sœur spirituelle se rétablir.
En ce qui me concerne


dimanche 9 août 2009

Il ne prêche pas, il est amour.


Swami Vishwananda m’a remis dans le chemin du Christ, l’hindouisme n’a jamais été ma religion de base. Il m’apporte une plus grande ouverture vis à vis de toutes les religions, pour moi une religion est basée sur l’amour, la tolérance, dans l’esprit du Christ. Depuis que je connais Swami Vishwananda, ma capacité d’aimer et de pardonner a augmenté, surtout de me pardonner à moi-même, ce qui me permet de pardonner aux autres. Il m’a dégagé du grand fardeau de la culpabilité. Je lui en serai reconnaissant pour toujours.Swami Vishwananda est la personne qui a la plus grande capacité d’aimer que j’aie rencontré. Il ne prêche pas, IL EST !.Il est Amour, il n’est qu’Amour. Dans son regard, dans sa façon d’agir, dans sa présence tout reflète l’amour. J’ai couru pendant des années après des guérisseurs pour que ma femme puisse remarcher. Il m’a appris la patience.(par Paritosha)

samedi 8 août 2009

Le mot « guru » est un mot tabou



J’ai rencontré Swami Vishwananda en 1997 à l’Île Maurice. Il m’a apporté beaucoup d’espoir par rapport à ce que ma femme vit dans son corps. J’étais réticent à l’idée d’un guru car j’avais lu des expériences de gens qui avaient suivi un guru et je m’étais projeté dans ces récits qui ne m’appartenaient pas. Lui m’a montré ce qu’était la réalité de suivre un maître. Il est vrai que j’étais totalement allergique au mot « guru » car c’est le mauvais aspect, à savoir le fanatisme qui est cultivé par notre société et par tous les racontars. Le mot « guru » est déjà un mot tabou, il est dans notre civilisation occidentale associé à « danger », « suspect », « manipulation » et « lavage de cerveau ».J’étais donc très méfiant et je regardais Swami Vishwananda au départ avec un esprit critique. Puis, peu à peu, j’ai vu qui il était, je l’ai découvert puisqu’il a habité un certain temps chez nous, je me suis ouvert et je l’ai apprécié.  (de Paritosha, France)

vendredi 7 août 2009

Un billet venu du ciel


Lors d'un pélerinage en Italie avecSwami Vishwananda et un petit groupe d'amis nous sommes allés à Montichiari. Près de cette petite ville la Mère de Dieu est apparue le 8 décembre 1947 à Pierina Gilli. Le champ de blé situé devant elle se prosterna et tous les épis de blé restèrent couchés sur le sol. Une source apparut au pied de la vierge Marie qui portait trois roses sur sa poitrine. Elle demanda d'inscrire le 13 de chaque mois comme un jour de fête mariale. L'endroit est magnifique. Nous avons acheté une statue de Marie "Rosa Mystica"comme est appellé cette apparition et nous continuames notre voyage.

Un matin, Swami Vishwananda me montra qu’un ange avait mis durant la nuit dans son portefeuille quelques billets de banque soigneusement pliés car il voulait acheter une statue mais n’avait plus d’argent.

- Regardes, pendant la nuit un ange a mis un billet dans mon portefeuille.

- Ça alors !

- Je voulais acheter une statue de Marie mais je n’avais plus d’argent.
- Ils sont gentils avec toi les anges !
Nous sommes allés dans la boutique d’art religieux, le prix de la statue correspondait exactement au montant que l’ange avait mis dans le portefeuille.

mercredi 5 août 2009

L'incarnation de l'amour


Jaya nous raconte sa rencontre avec Swami Vishwananda:
"J’ai rencontré Swami Vishwananda en 1997 à l’Île Maurice. J’étais avec mon mari et ma petite fille, nous avons entendu parler de lui et sommes allés le voir. Lorsque je l’ai rencontré, j’ai su immédiatement dans mon cœur qu’il était le maître spirituel que je cherchais. Depuis l’âge de 20 ans je priais pour retrouver mon guru. J’avais lu « Autobiographie d’un yogi » et je priais, je priais pour le retrouver. Quand je l’ai vu, je n’avais plus l’ombre d’un doute, plus de questions. C’était lui ! Mais cela allait plus loin que de simples retrouvailles. Ce n’était pas au niveau du mental, je le savais dans mon cœur. Lorsque je l’ai vu, je lui ai dit que l’on se connaissait depuis très très longtemps et il me l’a confirmé. Depuis ce jour-là, sa présence dans ma vie représente ce qui est le plus important. Je sais qu’il est là.
Si j’avais à définir Swami Vishwananda, je dirais qu’il est l’incarnation de l’Amour. Je n’ai pas de questions, pas de doutes, je sens que je dois être avec lui et rien d’autre. Lorsque le cœur est grand ouvert, on sent en sa présence ce sentiment du Divin. De lui, Swami Vishwananda, émane cette plénitude de l’Amour, également beaucoup de joie et une grande simplicité. Pour mon mari et ma fille c’est aussi une grande joie. Je suis heureuse de pouvoir partager tout cela avec eux. Lorsque nous sommes auprès de lui, nous retrouvons notre spontanéité d’enfants car nous ne sommes pas jugés, nous sommes aimés tout simplement avec nos faiblesses et nos qualités. Pour moi cela correspond très exactement à ma définition de ma relation avec Dieu.
Nous avons eu la grâce qu’il habite chez nous et chaque jour était pour moi une bénédiction. De nombreuses apparitions de la Vierge ont marqué cette période. Elle lui apparaissait spontanément et le voir à genoux, les mains jointes devant Elle que lui seul voyait, nous bouleversait. Nous avons à la demande de la Vierge construit une toute petite chapelle, bien modeste, qu’Elle a nommée « la chapelle du Pardon ». Parce que le merveilleux fait partie du Divin, il peut faire partie aussi du quotidien. Apparitions, matérialisations etc…c’est cette réalité que mon guru a rendu tangible dans ma vie. Le monde n’est absolument pas limité à la vision de nos cinq sens. La présence de mon guru m’apporte également la paix du mental et du mieux- être dans un corps qui souffre.
Dans la petite enfance, j’ai eu une paralysie qui me laissa de graves séquelles dans les jambes et à l’âge adulte une intervention chirurgicale qui a mal tournée m’a clouée dans un fauteuil roulant dans lequel je me trouve encore. Une vie remplie d’épreuves dans laquelle Dieu s’est incarné pour me redonner espoir, me manifester son Amour, et cette proximité est un baume pour mon cœur. Bien sûr mon histoire personnelle m’amène à souhaiter que les gens ouvrent leur cœur à ceux qui souffrent, qu’ils réagissent au-delà du « tant qu’on a pas souffert on ne peut pas comprendre » l’excuse polie d’une indifférence presque cruelle. Je crois que Swami peut éveiller cette conscience de prendre soin de l’autre. C’est une platitude de dire qu’il y a tant de choses à faire sur cette Terre, chacun peut y trouver son expression de don, de partage, car la croyance en Dieu s’exprime aussi de cette façon. Swami nous maintient dans le concret, le réel utile et actif, tout en nous permettant de développer notre conscience spirituelle à chaque instant. Lui-même est très pratique, concret et pourtant totalement immergé en Dieu. Contrairement aux idées reçues, je témoigne que ce n’est pas dans le monde de la spiritualité que j’ai rencontré le plus de gens compassionnels ou simplement gentils et j’apprécie vraiment que Swami veille à ce que les gens autour de lui développent cette gentillesse, cette entraide plutôt qu’un ego spirituel inutile et prétentieux. A l’instar d’un Saint François d’Assise, Swami démontre que même à cette époque de technologie avancée et d’intellectualisme, l’être humain a toujours autant besoin d’Amour pour soulager ces misères et ces manques. Avant de le connaître, j’étais déjà dans la voie spirituelle, j’avais la foi, je priais. Sa rencontre fut comme un cadeau du Divin par rapport à mon cheminement personnel et mes souffrances, comme je l’ai déjà dit. Il incarne pour moi l’Amour absolu sous une forme très simple, tellement adorable. De religion chrétienne, je suis pasteur dans une église métaphysique. Bien que Swami soit de religion hindoue il enseigne complètement le message du Christ. Quand on recherche le Christ en soi, cela ne fait aucune différence que l’on soit de religion hindoue ou chrétienne. La seule chose qui compte est l’éveil de ce Christ. Certainement dans des vies précédentes j’ai expérimenté des mantras pour pouvoir les pratiquer aussi facilement. Quelque soit la façon dont on a prié auparavant, tout est là. L’âme expérimente différentes cultures, différentes religions, dans de nombreuses incarnations. Réciter des mantras ou prier de façon chrétienne les deux pratiques vont vers Dieu si le cœur y est ! Même chose lorsque l’on chante Dieu en sanskrit ou d’autres langages. Je crois vraiment que l’ancrage dans la réalité est très important dans le chemin de la spiritualité. Beaucoup de gens « disjonctent » dans cet univers où la spiritualité a tant de formes et de visages possibles. J’accompagne les gens sur un plan psycho-spirituel depuis de très nombreuses années et je peux voir la confusion qui règne dans l’esprit et le cœur de ceux qui cherchent et qui se cherchent. Voir sans cesse de nouveaux gurus, d’autres enseignants, être à l’affût de nouvelles expériences « incroyables », cela finit par être une véritable fuite dans l’illusion, sans prendre le temps d’intégrer le Réel. Tout cela peut être aussi une perte de temps, alors que seul le Maître qui parle à notre cœur est le « bon », et qu’il nous attend avec amour et patience. C’est mon point de vue. Ainsi chaque jour, je rends grâce à Dieu de m’avoir permis de retrouver celui qui m’accompagne depuis toujours et pour toujours dans ma quête de la Vérité".


mardi 4 août 2009

Dix ans de bonheur


Etant enfant, je n’avais pas confiance en moi, j’avais du mal à m’affirmer par rapport aux autres, par rapport à l’extérieur. Certes, mes parents étaient présents et très attentionnés; mais je ne parvenais pas à quitter ce manque d’assurance. Cependant, j’avais foi en Dieu et ses représentants ; aussi avec les prières que ma mère m’avait apprises, quotidiennement, je m’adressais à une multitude de saints et de saintes à la Très Sainte Mère de Dieu et son fils Bien-aimé, et d’autres. En priant, j’exposais mes angoisses, mes peurs. Ainsi, comme depuis toute petite, j’étais comblée de joie lorsque lisais des ouvrages sacrés, ou que je priais.
J’étais persuadée qu’il y aurait une réponse de là-haut à ma requête, aussi je continuais.
Je persévérais de cette manière jusqu’au jour où je rencontrai Swami Vishwananda.
A ce moment-là, dès que je le vis, avec son grand sourire, je me sentis soudain sereine, comme enveloppée de tendresse et de gentillesse. Avec lui, je n’étais pas intimidée. C’était comme si je le connaissais déjà depuis longtemps.
Quant à lui, il me regardait avec des yeux étincelants et 
Peu après, plus les années passaient, mieux je le connaissais, mes parents et moi étions alors très proches de lui. Certes, je savais que Swami Vishwananda était un être très avancé spirituellement, je le voyais avec ses stigmates et son attitude digne d’un saint. C’était un véritable maître, mais, pour moi à cet âge, le mot « guru » ou « maître » ne signifiait pas grand chose ; pour moi Swami Vishwananda représentait un grand frère, un protecteur. Il était vraiment attentionné et patient à mon égard : il m’aidait à affronter l’extérieur, m’encourageait, il m’enlevait mes peurs petit à petit et me rassurait. Notre relation était simple :lui me redonnait confiance et veillait farouchement sur moi ; et moi je grandissais avec pour but d’avoir attitude exemplaire et de continuer dans ma passion pour Dieu. Je voulais lui montrer le meilleur de moi-même.
Maintenant, quand je pense à toutes ces années où j’ai prié pour que quelqu’un m’aide, et ensuite à la gentillesse, l’attention et la tendresse que Swami Vishwananda m’a porté depuis le début, et aussi à cette confiance qu’il a réveillé ;chaque fois je rends grâce à Dieu qu’il soit dans ma vie.
Rien que d’y penser, je suis émue et à la fois remplie de joie : Dieu m’a répondu ! D’abord une mère métaphysicienne et ensuite un grand maître spirituel !
A présent, cela fait dix ans qu’il est dans notre vie, dix ans de bonheur, de rires et de tendresse spontanées que j’ai la grâce de partager avec lui. Mais cette belle relation n’a fait que de grandir dans mon cœur. Maintenant, j’ai bientôt 17 ans, j’ai confiance en moi et je prie Dieu avec plus de ferveur encore qu’auparavant avec maman. Cet être fabuleux qui a atterri dans ma vie n’est plus seulement un grand frère et un ami, c’est mon guru….pour toujours. (par Oriane- France)


samedi 1 août 2009

Humour vient de humilité

En Novembre 2005, nous avons visité avec Swami Vishwananda en France une belle petite église. En sortant de l’église il admire encore la facade extérieure et le portail d’entrée en se reculant pour mieux la voir, voilà qu’il tombe dans un bac à fleur en béton. Il s’écorche la jambe, elle est égratignée et il a du mal à marcher pour remonter dans la voiture. Il ne veut pas de pensement. Lorsque nous sommes revenus au centre en Allmagne, pleins de gens sont venus pour des interviews. J’entends Swami Vishwananda raconter sa mésaventure à qui veut l’entendre et rire avec ses interlocuteurs de sa bévue.
Combien d’entre nous cache nos mésaventures pour ne pas perdre la face devant les autres. Lui, bien au contraire lorsqu’ il lui arrive un petit malheur, il saute sur l’occasion pour se moquer de lui même et entraîner les autres à faire de même. Quand on a pas d’Ego, on peut rire facilement de soi. 
Lorsque nous roulons sur les routes, parfois derrière un camion, sur les routes qui tournent. Je suis indécis si j’ ai le temps de doubler ou pas. D’autant plus que je suis myope . Alors je lui demande : « je peux doubler ? ». Et toujours la réponse adéquate : « Non, attends, un peu… maintenant tu peux y aller » ou bien : « Vas y fonces », ou encore « c’est bon, tu as le temps » même si je n’y vois rien du tout j’obéis, tout content d’avoir un radar-assurance-tout-risque à côté de moi.